balado conscient

a calm presence - se recroqueviller

Episode Notes

se recroqueviller (hunkering down) est un épisode bonus du balado conscient qui s'inspire d'entretiens et d'écrits de David Suzuki, Seth Klein, Joanna Macy et Thich Nhat Hanh. 

L'épisode comprend également des extraits des épisodes du balado conscient é55 – un petit instant avec France Trépanier, e177 - unknownness as a playground for artists, avec Asma Khan, e231 – what can we contribute? avec Kelly Wilhelm, e239 roundtable – imagining in public e2 - artist perspectives on social impact avec Jesse Hirsh et e235 – art from the soil avec Lallan.

Vous pouvez trouver la version écrite sur mon Substack 'a calm presence'. 

Ma conclusion est la suivante :

« Je ne pense pas que les humains survivront encore longtemps en tant qu'espèce sur Terre et je m'inquiète pour la souffrance des communautés humaines et plus qu'humaines actuelles et futures. »

Et

« Mon propre équilibre entre l'espoir et le désespoir réside dans ma conviction que nous sommes tous de l'énergie vivante et que la vie dans le cosmos se déroulera comme elle le devrait. La meilleure chose à faire pour quelqu'un comme moi est d'être aussi présent et calme que possible tout en regardant les étoiles avec émerveillement et en faisant tout mon possible pour réduire la souffrance et préparer l'avenir. »

À la fin, je dresse une liste de 15 ressources avec des liens que vous trouverez dans les notes de l'épisode.

Episode Transcription

Remarque : il s'agit d'une transcription fournie pour ceux qui préfèrent lire cette conversation et à des fins de documentation. Elle a été vérifiée mais n'est pas tout à fait fidèle a la version sonore. 

se recroqueviller

à l’écoute de David Suzuki, Seth Klein, Joanna Macy et Thich Nhat Hanh

Remarque : la version écrite de cet article se trouve sur le Substack a calm presence

Cette narration a été enregistré le 31 août 2025 alors que je dérivais en kayak sur la rivière Preston à Duhamel, Québec. Il s'agit d'un enregistrement ininterrompu, à l'exception de mon insertion de 10 secondes de silence entre certaines sections. Les citations ont été légèrement transformées pour plus de clarté.

Alors… 

Le 2 juillet 2025, une interview de David Suzuki a été publiée dans iPolitics, intitulée It’s too late’: David Suzuki says the fight against climate change is lost.(« Il est trop tard » : David Suzuki déclare que la lutte contre le changement climatique est perdue.)

En voici trois extraits :

Tout cela me semble vrai.

Suzuki a également réitéré une vérité indéniable concernant les limites planétaires :

(10 secondes de silence dans la narration)

Le 11 juillet 2025, Seth Klein, auteur de ‘A Good War: Mobilizing Canada for the Climate Emergency’ (Une bonne guerre : mobiliser le Canada pour l'urgence climatique) a répondu dans le National Observer avec ‘Is Suzuki right that it's 'too late'? We are in an era of simultaneous wins and losses’. (Suzuki a-t-il raison de dire qu'il est « trop tard » ? Nous vivons à une époque où les victoires et les défaites sont simultanées.)

Voici un extrait de cette chronique :

Ceci est également vrai.

J'apprécie la franchise de Klein. Voici un autre extrait de son article:

Où allons-nous à partir de là ?

Suzuki suggère :

Au fait, si vous vous demandez ce que signifie « se recroqueviller», cela se définit généralement comme suit :

La réponse de Klein apporte un éclairage historique intéressant à l'interview de Suzuki :

(10 secondes de silence dans la narration)

Le 19 juillet 2025, la très grande philosophe bouddhiste grande Joanna Macy est décédée à l'âge de 96 ans et c'est à ce moment-là que j'écrivais cet article. J'ai été inspirée par tout l'amour qu'elle a reçu dans ses derniers jours. J'ai été touchée par cette citation de Macy dans le emergence magazine:

Ces mots ont profondément résonné en moi et m'ont aidé à écrire cet article.

(10 secondes de silence dans la narration)

Le 28 juillet 2025, j'ai écouté la version audio d'un livre publié en 2021, Zen and the Art of Saving the Planet de Thich Nhat Hanh (également connu sous le nom de « Thay »).

Voici trois extraits :

J'ai parfois l'impression que notion d’absence de peur commence lentement à se développer en moi.

(10 secondes de silence dans la narration)

Le 26 juin 2025, j'ai publié a sense of communion (un sentiment de communion) qui se termine ainsi :

Heureusement, je trouve des réponses à ma questionnement dans les mots de Suzuki, Klein, Macy et de Hanh.

Par exemple, il faut du courage pour évaluer les voies d'évacuation et créer des inventaires communautaires, comme le dit Suzuki.

Nous avons besoin de sérénité pour descendre ces marches raides vers la sécurité, comme le dit Klein.

Nous avons certainement besoin du vide pour faire l'expérience de la paix, de la non-naissance et de la non-mort, comme le disent Macy et Thich Nhat Hanh.

Ces enseignements sont reliés entre eux, et ces connaissances sont extrêmement précieuses, mais où allons-nous à partir de là? 

Qu'est-ce que cela signifie ?

Pour moi, il me semble évident que l'écologie et la civilisation sont en train de s'effondrer (collapse) comme en témoigne l'infatigable David Suzuki qui déclare que la bataille climatique est perdue et qui nous conseille de nous préparer pour le pire.

Je sais très bien que David a d'autres réflexions plus positives sur l'état du monde, mais il est difficile de nier ce qu'il dit.

On ne peut être plus clair.

J'essaie de devenir un réaliste compatissant (compassionate realism).

Par exemple, j'ai beaucoup de mal à prendre au sérieux les activités humaines qui reposent sur des hypothèses de croissance infinie ou qui ignorent la réalité des limites de notre planète, et je dirais que c'est le cas de la majorité des activités qui nous entourent. Ce qui passe pour du progrès ou du développement dans la bulle de la modernité me semble hors de propos, voire destructeur.

Il s'agit donc d'un changement de perspective (voir mon lens shift), l'une de mes billets précédents, qui a accru mon empathie envers mes concitoyens qui vivent pour la plupart dans le déni de la réalité ou qui sont simplement submergés par l'énorme risque et la menace d'un effondrement écologique et sociétal.

Ma crainte est que ceux qui sont pour la plupart dans le déni ou qui se sentent dépassés se réveillent un jour et ne serons pas suffisamment préparés à se retrancher, à descendre ces marches escarpées, à se connecter à la terre ou à apprendre à vivre sans peur.

Bien sûr, beaucoup de gens font certaines de ces choses, mais je crains que notre niveau de préparation ne soit pas suffisant.

Je me demande s'il y aura suffisamment de temps.

Y aura-t-il suffisamment de temps ?

(10 secondes de silence dans la narration)

Cette question revient sans cesse. L'une de mes réponses préférées est celle que m'a donnée l'artiste autochtone France Trépanier le 7 juin 2021 dans é55 – un petit instant:

France Trépanier nous rappelle que ce cycle du colonialisme, et ce qu'il a apporté, touche également à sa fin, et avec le recul, nous nous rendrons compte que cela n'a été qu'un très bref moment dans un espace beaucoup plus vaste, et que nous revenons à des connaissances très profondes.

Je crois sincèrement au retour à des connaissances très profondes tout en vivant pleinement le moment présent.

J'essaie également de garder à l'esprit ce que nous ne savons pas, comme me l'a rappelé Asma Kahn au printemps 2024 dans e177 - unknownness as a playground for artists:

Merci Asma. Merci France.

À mesure que notre connaissance de nous-mêmes s'approfondit, je pense que nous serons mieux à même de comprendre l'appel de Suzuki à nous accroupir, la recherche d'équilibre de Klein, le fait que Joanna Macy nous propose de devenir la terre et que Thich Nhat Hanh nous parle de la non-peur.

Ces points finiront par se relier, et de nouvelles énergies et possibilités émergent. J'apprécie et je valorise tous les efforts qui sont faits en ce moment dans ce sens pour ralentir les dégâts et réimaginer le monde.

Cependant, d'après les prévisions actuelles, je ne pense pas que les humains survivront encore longtemps en tant qu'espèce sur Terre et je m'inquiète pour la souffrance des communautés humaines et des plus-que-humains actuels et futurs.

Voilà où j'en suis.

Bien sûr, il s'agit d'un ensemble de pensées et d'émotions en constante évolution.

Mon propre équilibre entre l'espoir et le désespoir réside dans ma conviction que nous sommes tous des êtres vivants et que la vie dans le cosmos se déroulera comme elle le doit. La meilleure chose à faire pour quelqu'un comme moi est d'être aussi calme que possible tout en regardant les étoiles avec émerveillement et en faisant tout mon possible pour réduire la souffrance et préparer l'avenir.

Et les arts, me demanderez-vous ?

(10 secondes de silence dans la narration)

Je continue également à croire que l'art joue un rôle important dans la vie quotidienne pour aider à sensibiliser, nous apporter de la joie et nous consoler lorsque nous disparaissons.

J'ai eu le plaisir et le privilège de produire plus de 350 épisodes du conscient podcast et du balado conscient au cours des cinq dernières années - interviews, tables rondes, essais, monologues comme celui-ci - et ces points de contact se poursuivent avec des artistes et des travailleurs culturels pour m'aider à donner un sens à notre monde et à rester calme.

Voici trois exemples récents :

Kelly Wilhelm, consultante et stratège en politiques publiques, arts, culture et industries créatives, dans e231 – what can we contribute? (e231 – que pouvons-nous apporter ?).

(10 secondes de silence dans la narration)

Le futuriste Jesse Hirsh dans la table ronde e239 roundtable – imagining in public e2 - artist perspectives on social impact (Table ronde e239 – Imaginer en public e2 – Perspectives d'artistes sur l'impact social) :

(10 secondes de silence dans la narration)

Lallan, artiste et organisateur communautaire, que j'ai rencontré dans l'Himalaya en avril 2025 : e235 – art from the soil(e235 – l'art issu de la terre) : 

(10 secondes de silence dans la narration)

Je pense que ce qu'ils disent, c'est :

Je tiens à remercier David, Seth, Joanna, Thay, France, Asma, Kelly, Jesse et Lallan pour le partage de leur sagesse.

Note : dans l’enregistrement je note le passage de deux castors… 

Voici 15 autres ressources qui pourraient vous être utiles. Elles sont présentées par ordre alphabétique, sans hiérarchie. Vous trouverez les liens dans les notes de l'épisode (séparés par 10 secondes de silence dans la version audio).

Toutes ces ressources sont en anglais. Je vais vous lire avec les titres en anglais. 

1. Le Climate Emergency Unit, dirigé par Seth Klein, fait pression pour la mise en œuvre de politiques à l'échelle de la guerre au Canada afin de faire face à la crise climatique. Elle produit l'excellent podcast Break In Case of Emergencyet mène des campagnes telles que Youth Climate Corps. Pour commencer, je vous recommande mon entretien avec la directrice des campagnes, Anjali Appadurai, e23 – what does a just transition look like?et mes deux entretiens avec Seith Klein : e26 – rallying through art et e77 seth klein – identifying a shared vision and a set of actions.

2. Collapse 2050 de Sarah Connor (qui est un pseudonyme) explore la vérité tacite sur l'avenir effrayant de l'humanité. J'ai trouvé que ses publications étaient fondées sur des faits et terrifiantes à lire. Je les recommande à ceux qui souhaitent approfondir leur compréhension de la façon dont nous en sommes arrivés là et des raisons pour lesquelles nous devons nous préparer. Dans le même ordre d'idées, je recommande également The Sentinel-Intelligence de Jessica Wildfire, qui se concentre davantage sur les tactiques de survie. Je recommande sa publication intitulée From Collapse Awareness to Collapse Acceptance (De la prise de conscience de l'effondrement à l'acceptation de l'effondrement). Tous deux sont originaires des États-Unis et partagent ce point de vue.

3. Dark Optimism est une structure à but non lucratif dédiée à la recherche et à l'activisme d'intérêt public, qui publie les écrits de Shaun Chamberlin. Je vous recommande de vous abonner à sa newsletter et d'envisager de suivre le cours Surviving the Future : The Deeper Dive (Survivre à l'avenir : une immersion plus approfondie), que j'ai suivi pendant l'hiver 2025. Pour en savoir plus, consultez la table ronde e218 - survivre à l'avenir, où vous pouvez directement interroger les participants, dont moi-même. Ce cours de trois mois s'adresse à ceux qui « recherchent des idées et des alliés pour s'aider eux-mêmes et aider leur communauté à traverser des changements profonds ». C'est un travail difficile, mais transformateur et libérateur. Le cours ‘Facing Human Wrongs’ (Faire face aux erreurs humaines), que je mentionne ci-dessous, est un cours approfondi similaire.

4. La Fondation David Suzuki dispose d'une multitude de ressources et de projets régénérateurs. Par exemple, j'ai été profondément émue par l'exposition Rewilding (Renaturation) au Musée canadien de la nature, où treize artistes canadiens donnent vie au concept de renaturation, soulignant le rôle vital que joue la nature dans nos communautés à travers leurs œuvres d'art captivantes. Deux invités du podcast Conscient font partie de l'exposition : Sarah Peebles dans e230 – how can we reciprocate?et Kendra Fanconi dans l'épisode e36 – towards carbon positive work ete87 – on the artist brigade, ben okri, eco-restoration, eco-grief & reauthoring the world. Je recommande également de regarder une conversation sur Instagram entre Suzuki et sa fille Sarika sur l'espoir et l'éducation des enfants.

5. Ecologies in Practice: Environmentally Engaged Arts in Canada est un ouvrage coédité par Amanda White et Elysia French qui explore « la manière dont la production culturelle influence les perceptions, les communications et les connaissances relatives aux difficultés environnementales dans le contexte canadien ». J'ai été ravie de découvrir ce groupe d'artistes écologiques axés sur la recherche, que je ne connaissais pour la plupart pas encore. Amanda et Elysia produisent également l'excellent podcast Ecologies in Practice Podcast.

6. Emergence Magazine est une « publication en ligne avec une édition imprimée annuelle qui relie les fils entre l'écologie, la culture et la spiritualité », trois de mes sujets préférés. Chaque dimanche matin, je reçois un e-mail qui m'invite à lire, écouter et faire des exercices. Je recommande de s'abonner à leur podcast et de regarder leur série de films.

7. How to Fall in Love with the Future(Comment tomber amoureux de l'avenir) de Rob Hopkins, que j'ai découvert cette année, est une « plongée approfondie dans l'histoire des personnes et des mouvements qui ont utilisé leurs visions de l'avenir pour inspirer des changements positifs à grande échelle ». Rob est cofondateur du Transition Networket de Transition Town Totnes. Je recommande sa série de balados  From What If To What Next (2020-2024) et son Field Recordings from the Future. (Enregistrements sur le terrain depuis le futur).

8. Green Dreamer avec Kamea Chayne nous encourage à « faire preuve de plus d'imagination pour imaginer notre avenir et réorienter la « croissance » vers ce qui compte le plus pour notre bien-être ». J'ai écouté des centaines d'épisodes de ce podcast et je suis toujours captivée et inspirée par ces conversations animées. Green Dreamer produit également le programme alchemize que j'ai suivi et que je recommande (voir e161 alchemize circle - a conversation with kamea chayne). L'infatigable Kamea produit également uprooted: « métaboliser le chaos et l'immensité de nos crises socio-écologiques-culturelles à travers des interviews approfondies, des essais critiques et des réflexions centrées sur le cœur ».

9. Gesturing Towards Decolonial Futures (GTDF) est un collectif de recherche artistique dirigé par Vanessa Andreotti (auteure de Outgrowing Modernity: Navigating Complexity, Complicity, and Collapse with Accountability and Compassion, qui vient de paraître). Il fonctionne comme un espace de travail pour des collaborations autour de différents types d'expériences artistiques, pédagogiques, cartographiques et relationnelles qui visent à identifier et à désactiver les habitudes coloniales d'être, et à gesticuler vers la possibilité d'un avenir décolonial. J'ai suivi la première édition de leur cours Facing Human Wrongs en 2022, qui explore la violence systémique continue que nous perpétuons les uns envers les autres et envers la planète dont nous faisons partie. J'ai produit une pièce radiophonique sur certains de mes apprentissages dans e111 - quels sont les pièges dans votre vie ?

10. Ishmael est un roman philosophique écrit par Daniel Quinn en 1992. Le roman examine les préjugés culturels cachés qui animent la civilisation moderne et explore les thèmes de l'éthique, de la durabilité et de la catastrophe mondiale. J'ai été fasciné par cette conversation entre un gorille et un humain sur la suprématie humaine et les mythes culturels. Ishmael fait partie d'une trilogie qui comprend une suite spirituelle publiée en 1996, The Story of B, et une « suite parallèle » publiée en 1997, My Ishmael, que j'ai toutes deux l'intention de lire.

11. Life After Doom de Brian D. McLean explore « l'échec catastrophique de nos dirigeants religieux et politiques à faire face aux réalités dominantes de notre époque : le dépassement écologique, l'injustice économique et la probabilité croissante d'un effondrement de la civilisation ». McLean est un pasteur qui aborde les complexités de la religion et de la spiritualité avec finesse et sérénité. Son livre m'a aidé à surmonter une partie de mon anxiété et de mon chagrin actuel. J'ai écrit sur son livre dans a sense of communion. Je recommande la version audio du livre lue par l'auteur. Dans le même esprit, je recommande également Facing It de Jennifer Atkinson, une série de podcasts sur l'amour, la perte et le monde naturel.

12. otherWise est une « communauté d'apprentissage cosmolocale composée de chercheurs de sagesse et de re-villagers - de petits rassemblements ancrés dans un lieu - une recherche virtuelle profonde et lente - des rituels partagés - du bon sens ». Cette initiative est issue d’EcoGather, qui existe désormais sous la forme d'archives numériques librement accessibles de cours et d'un réseau d'apprentissage communautaire. otherWise est un bon endroit pour explorer à quoi pourrait ressembler une culture du « repli sur soi » grâce à ses programmes otherWisdom Circles et otherGardens.

13. Reseed est un balado animé par Alice Irene Whittaker sur le thème « réparer notre relation avec la nature à travers des conversations réfléchies sur notre parcours collectif, de consommateurs à protecteurs ». J'adore leurs histoires régénératrices et terre-à-terre. Alice Irene est également l'auteure de Homing: A Quest to Care for Myself and the Earth(Retour aux sources : une quête pour prendre soin de moi-même et de la Terre), dont vous pouvez en savoir plus dans e196  - homing, a book review) et e187 - caring for the planet I love..

14. The Great Simplification avec Nate Hagens traite de « la manière de naviguer dans l'incertitude en comprenant et en construisant ensemble un avenir résilient ». C'est mon podcast de référence pour obtenir des connaissances scientifiques fiables et sans filtre, mais aussi pour découvrir les réflexions philosophiques et spirituelles de Nate. J'apprécie particulièrement la série Frankly de Hagen, qui présente des opinions personnelles qui reflètent souvent mes propres vulnérabilités et réflexions. Leur site web est une excellente ressource, notamment le film The Great Simplification Movie

15. Zen and the Art of Saving the Planet de Thich Nhat Hanh et ses collaborateurs est une « approche essentielle pour lutter contre le changement climatique et créer un monde meilleur pour nous et les générations futures ». Je recommande ce livre à ceux qui s'intéressent au bouddhisme engagé et aux pratiques spirituelles environnementales. Un cours en ligne est proposé par Plum Village. Dans le même ordre d'idées, voir également e29 loy – the bodhisattva path (e29 loy – la voie du bodhisattva).

Chaque jour, je découvre de nouveaux contenus qui m'inspirent et me motivent, par exemple, All eyes on Gaza, all ears everywhere else, too, and all hands in the dirt!! (Tous les yeux rivés sur Gaza, toutes les oreilles partout ailleurs aussi, et toutes les mains dans la terre !) de Kamea Chayne dans son Substack Uprooted.

Je continuerai à partager des ressources dans de futurs articles. J'espère que l'un ou l'autre vous parlera et vous accompagnera dans l'ouverture de nouvelles possibilités.

Comme toujours, n'hésitez pas à répondre dans la section commentaires publics de l'un de mes réseaux sociaux, en particulier sur le Substack « a calm presence », ci-dessous, ou à m'écrire en privé à l'adresse suivante : claude@conscient.ca .

Merci de votre présence et de votre écoute.